Hibernation de la tortue

L’hibernation est une période clé dans la vie d’une tortue de jardin maintenue en captivité. Elle correspond à une mise en repos physiologique de l’organisme du reptile lors de la période froide, classiquement de novembre à mars. Concrètement, le métabolisme de l’animal connaît une diminution drastique, le rendant vulnérable à de nombreux dangers si cet évènement est mal maîtrisé. Néanmoins, l’hibernation est un processus naturel essentiel pour la longévité et la santé des chéloniens concernés. Il est donc conseillé de la recréer en captivité, même si cette période peut se révéler stressante pour le propriétaire.

Pour une hibernation réussie en toute sérénité, plusieurs étapes sont essentielles.

Toutes les tortues de terre n’hibernent pas dans la nature, une parfaite identification de l’espèce est donc nécessaire pour adapter la saison hivernale à ses mœurs naturelles. Par exemple, une hibernation complète est conseillée pour les chéloniens européens et orientales comme les Tortues d’Hermann occidentales (Testudo hermanni hermanni) et orientales (Testudo hermanni boettgeri), les Tortues Bordées (Testudo marginata), les Tortues Turques (Testudo graeca ibera) et les Tortues des Steppes (Testudo horsfieldii).

D’octobre à mars, dès la première année.

Le lieu de l’hibernation est un choix primordial. Une hibernation « naturelle » dans le jardin sera sans doute la moins contraignante si le climat et le terrain le permettent (c’est le cas dans le Sud de la France) : votre tortue saura très bien se débrouiller toute seule (attention néanmoins aux prédateurs et aux gelées). L’alternative sera une hibernation artificielle sous température contrôlée entre 4 et 10°C (abris, cave à vin, éventuellement réfrigérateur…), mais cette méthode, parfois plus rassurante, nécessite plus d’engagement par le propriétaire (mise à jeun et hydratation préalable, surveillance, réveil artificiel…).

Compte tenu de la fragilité de la tortue pendant l’hibernation, l’animal doit être en parfaite santé, une consultation pré-hibernation chez votre vétérinaire est donc conseillée au début de l’automne, à l’occasion de laquelle un bilan de santé et une coprologie à la recherche de parasites seront réalisés.

Vous l’aurez compris : il n’y a pas de méthode unique ou parfaite pour une bonne hibernation, et il faut souvent s’adapter aux conditions physiologiques et environnementales de chaque individu. En cas de doute, n’hésitez pas à contacter votre vétérinaire.

L’hibernation est une période clé dans la vie d’une tortue de jardin maintenue en captivité. Elle correspond à une mise en repos physiologique de l’organisme du reptile lors de la période froide, classiquement de novembre à mars. Concrètement, le métabolisme de l’animal connaît une diminution drastique, le rendant vulnérable à de nombreux dangers si cet évènement est mal maîtrisé. Néanmoins, l’hibernation est un processus naturel essentiel pour la longévité et la santé des chéloniens concernés. Il est donc conseillé de la recréer en captivité, même si cette période peut se révéler stressante pour le propriétaire.

Pour une hibernation réussie en toute sérénité, plusieurs étapes sont essentielles.

Toutes les tortues de terre n’hibernent pas dans la nature, une parfaite identification de l’espèce est donc nécessaire pour adapter la saison hivernale à ses mœurs naturelles. Par exemple, une hibernation complète est conseillée pour les chéloniens européens et orientales comme les Tortues d’Hermann occidentales (Testudo hermanni hermanni) et orientales (Testudo hermanni boettgeri), les Tortues Bordées (Testudo marginata), les Tortues Turques (Testudo graeca ibera) et les Tortues des Steppes (Testudo horsfieldii).

D’octobre à mars, dès la première année.

Le lieu de l’hibernation est un choix primordial. Une hibernation « naturelle » dans le jardin sera sans doute la moins contraignante si le climat et le terrain le permettent (c’est le cas dans le Sud de la France) : votre tortue saura très bien se débrouiller toute seule (attention néanmoins aux prédateurs et aux gelées). L’alternative sera une hibernation artificielle sous température contrôlée entre 4 et 10°C (abris, cave à vin, éventuellement réfrigérateur…), mais cette méthode, parfois plus rassurante, nécessite plus d’engagement par le propriétaire (mise à jeun et hydratation préalable, surveillance, réveil artificiel…).

Compte tenu de la fragilité de la tortue pendant l’hibernation, l’animal doit être en parfaite santé, une consultation pré-hibernation chez votre vétérinaire est donc conseillée au début de l’automne, à l’occasion de laquelle un bilan de santé et une coprologie à la recherche de parasites seront réalisés.

Vous l’aurez compris : il n’y a pas de méthode unique ou parfaite pour une bonne hibernation, et il faut souvent s’adapter aux conditions physiologiques et environnementales de chaque individu. En cas de doute, n’hésitez pas à contacter votre vétérinaire.

Hibernation de la tortue

L’hibernation est une période clé dans la vie d’une tortue de jardin maintenue en captivité. Elle correspond à une mise en repos physiologique de l’organisme du reptile lors de la période froide, classiquement de novembre à mars. Concrètement, le métabolisme de l’animal connaît une diminution drastique, le rendant vulnérable à de nombreux dangers si cet évènement est mal maîtrisé. Néanmoins, l’hibernation est un processus naturel essentiel pour la longévité et la santé des chéloniens concernés. Il est donc conseillé de la recréer en captivité, même si cette période peut se révéler stressante pour le propriétaire.

Pour une hibernation réussie en toute sérénité, plusieurs étapes sont essentielles.

Toutes les tortues de terre n’hibernent pas dans la nature, une parfaite identification de l’espèce est donc nécessaire pour adapter la saison hivernale à ses mœurs naturelles. Par exemple, une hibernation complète est conseillée pour les chéloniens européens et orientales comme les Tortues d’Hermann occidentales (Testudo hermanni hermanni) et orientales (Testudo hermanni boettgeri), les Tortues Bordées (Testudo marginata), les Tortues Turques (Testudo graeca ibera) et les Tortues des Steppes (Testudo horsfieldii).

D’octobre à mars, dès la première année.

Le lieu de l’hibernation est un choix primordial. Une hibernation « naturelle » dans le jardin sera sans doute la moins contraignante si le climat et le terrain le permettent (c’est le cas dans le Sud de la France) : votre tortue saura très bien se débrouiller toute seule (attention néanmoins aux prédateurs et aux gelées). L’alternative sera une hibernation artificielle sous température contrôlée entre 4 et 10°C (abris, cave à vin, éventuellement réfrigérateur…), mais cette méthode, parfois plus rassurante, nécessite plus d’engagement par le propriétaire (mise à jeun et hydratation préalable, surveillance, réveil artificiel…).

Compte tenu de la fragilité de la tortue pendant l’hibernation, l’animal doit être en parfaite santé, une consultation pré-hibernation chez votre vétérinaire est donc conseillée au début de l’automne, à l’occasion de laquelle un bilan de santé et une coprologie à la recherche de parasites seront réalisés.

Vous l’aurez compris : il n’y a pas de méthode unique ou parfaite pour une bonne hibernation, et il faut souvent s’adapter aux conditions physiologiques et environnementales de chaque individu. En cas de doute, n’hésitez pas à contacter votre vétérinaire.

L’hibernation est une période clé dans la vie d’une tortue de jardin maintenue en captivité. Elle correspond à une mise en repos physiologique de l’organisme du reptile lors de la période froide, classiquement de novembre à mars. Concrètement, le métabolisme de l’animal connaît une diminution drastique, le rendant vulnérable à de nombreux dangers si cet évènement est mal maîtrisé. Néanmoins, l’hibernation est un processus naturel essentiel pour la longévité et la santé des chéloniens concernés. Il est donc conseillé de la recréer en captivité, même si cette période peut se révéler stressante pour le propriétaire.

Pour une hibernation réussie en toute sérénité, plusieurs étapes sont essentielles.

Toutes les tortues de terre n’hibernent pas dans la nature, une parfaite identification de l’espèce est donc nécessaire pour adapter la saison hivernale à ses mœurs naturelles. Par exemple, une hibernation complète est conseillée pour les chéloniens européens et orientales comme les Tortues d’Hermann occidentales (Testudo hermanni hermanni) et orientales (Testudo hermanni boettgeri), les Tortues Bordées (Testudo marginata), les Tortues Turques (Testudo graeca ibera) et les Tortues des Steppes (Testudo horsfieldii).

D’octobre à mars, dès la première année.

Le lieu de l’hibernation est un choix primordial. Une hibernation « naturelle » dans le jardin sera sans doute la moins contraignante si le climat et le terrain le permettent (c’est le cas dans le Sud de la France) : votre tortue saura très bien se débrouiller toute seule (attention néanmoins aux prédateurs et aux gelées). L’alternative sera une hibernation artificielle sous température contrôlée entre 4 et 10°C (abris, cave à vin, éventuellement réfrigérateur…), mais cette méthode, parfois plus rassurante, nécessite plus d’engagement par le propriétaire (mise à jeun et hydratation préalable, surveillance, réveil artificiel…).

Compte tenu de la fragilité de la tortue pendant l’hibernation, l’animal doit être en parfaite santé, une consultation pré-hibernation chez votre vétérinaire est donc conseillée au début de l’automne, à l’occasion de laquelle un bilan de santé et une coprologie à la recherche de parasites seront réalisés.

Vous l’aurez compris : il n’y a pas de méthode unique ou parfaite pour une bonne hibernation, et il faut souvent s’adapter aux conditions physiologiques et environnementales de chaque individu. En cas de doute, n’hésitez pas à contacter votre vétérinaire.